La centrale électrique réduit la fréquence de nettoyage de 500 % et économise plus de 3 millions de dollars.

ObjectifRéduire la corrosion sous-dépôt et la fréquence de nettoyage.

<h6>Possibilités d’amélioration</h6> <p>Une grande centrale électrique du Midwest a commencé à fonctionner en 1981. Cette installation de 350,5 MW alimentée au charbon utilisait l’hydrazine comme réducteur d’oxygène volatile depuis sa mise en service et nettoyait chimiquement la chaudière sur un cycle planifié de cinq ans. Une chaudière électrique est considérée comme candidate au nettoyage chimique en fonction des charges DWD (densité pondérale des dépôts) et de la pression de fonctionnement. Pour cette unité de 2 600 psig, l’EPRI (Electric Power Research Institute) définit 27 gms/ft² comme le point auquel le nettoyage chimique doit être effectué.</p> <h6>Solution recommandée :</h6> <p>Pour améliorer l'inhibition de la corrosion, Solenis a recommandé l'utilisation de l'inhibiteur de corrosion Mekor, un réducteur d'oxygène volatile et passivateur du métal. L’unité a été nettoyée chimiquement en 1986 et a utilisé de l’hydrazine pendant les deux années suivantes. Mekor a été introduit en 1988 et l’usine a été nettoyée chimiquement conformément au calendrier en 1991.</p> <h6>Résultats obtenus</h6> <p>La quantité de fer et de cuivre retirée lors du nettoyage chimique de 1991 a été réduite de 88 % pour le fer et de 41 % pour le cuivre. Étant donné que le chargement de DWD n’a pas dépassé 21 gms/ft² depuis lors, l’usine n’a pas procédé à un nettoyage chimique depuis 25 ans, c’est-à-dire depuis 1991. Sur la base des coûts de nettoyage chimique similaires par unité, l'usine estime que chaque nettoyage chimique évité a permis d'économiser entre 750 000 $ et 1 000 000 $, selon une estimation conservatrice.</p> <p><img style="max-width: 100%; width: auto; height: auto;" src="/link/7e2980da88cf4b8ea4bfb5d26f4abb7a.aspx" alt="" width="1076" height="570" /></p>